Tony
par Anonymous le, 23/04/2010Un soir nous avions décidé de bizuter Tony. C’était une tradition bien établie dans ce collège. Tony était très timide et avait une peur bleue des filles. C’était le puceau par excellence. Il était donc le sujet idéal pour subir le bizutage.
Les chambres des garçons étaient des chambres de six et Tony dormait en haut de l’un des trois lits superposés. A part lui, toute la chambrée savait que son bizutage était prévu pour cette nuit. Vers une heure du matin, alors qu’il dormait profondément, les plus costauds lui attrapèrent les pieds et les mains pour l’immobiliser, tandis qu’un autre lui mettait un bâillon sur la bouche pour étouffer ses cris.
Portés par une dizaine de bras vigoureux, il fut amené dans le vestiaire des filles. Il essayait de crier, mais aucun son audible ne sortait de sa bouche. Le plus ancien le regarda droit dans les yeux et lui dit sur un ton ferme : «Tu vas passer la nuit ici à attendre que les filles viennent se changer avant de prendre leur douche».
Ordre fut donné de le déshabiller entièrement. Son haut de pyjama lui fut enlevé - non sans mal car Tony gesticulait dans tous les sens. Mais seul contre tous, il ne pouvait rien faire. Puis, l’un des anciens arracha d’un coup sec le bouton de son bas de pyjama, qui glissa le long de ses jambes. Deux mains complices le lui ôtèrent complètement : Tony était maintenant entièrement nu et sans défense…
Les bras écartés au maximum, il fut alors plaqué le dos contre l’un des radiateurs de la pièce. Une fois les bras mis en croix, on lui attacha les poignets et les chevilles aux montants à l’aide de cordes qui avaient été préparées à cet effet. A genoux, les fesses nues reposant sur le carrelage et le sexe à l’air, il se trouvait maintenant solidement arrimé au radiateur.
On lui noua alors un bandeau sur les yeux et on l’abandonna dans cette triste posture, aveugle, muet et nu comme un ver. Tony allait devoir passer ainsi le reste de la nuit, à attendre que quelqu’un veuille bien le détacher. Il devrait sans doute attendre jusqu’à l’arrivée des filles, à moins que l’un des surveillants ne vienne par hasard faire un tour dans le coin avant le lever du jour…
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