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Fessée à l'école
par Anonymous le, 24/05/2010

Bonjour ! Je suis Frédéric, et je voudrais vous raconter une histoire qui m'est arrivée il y a plusieurs années, lorsque je venais d'avoir mes 16 ans révolus. Je suis noiraud, cheveux courts, petit, très très mince, et, si j'en crois les filles, assez mignon. J'avais commencé, cette année-là, une nouvelle école formidable, mais il m'est arrivé, dans les tout premiers jours de l'année scolaire, une histoire absolument incroyable, quelque chose de si honteux que je n'ai plus voulu y retourner, dans cette école, pendant plusieurs jours, tellement j'ai eu peur que les filles se moquent de moi !

C'était pourtant vraiment l'école qu'il me fallait : une école de formation spéciale orientée vers la formation professionnelle, avec des cours adaptés aux professions choisies. Moi par exemple, c'est le tourisme. Il y avait plein de filles aussi qui suivaient cette école. Elles avaient l'air super. Je me suis immédiatement lié d'amitié avec une fille qui avait l'air super, très mignonne, habillée vachement sexy, mais qui a l'air aussi très intelligente.

Non pas que je sois macho, mais je me demande si ce n'est pas plus rare qu'on pourrait le croire ! Affaire de point de vue... Elle s'appelle Isabelle, cette merveille. Bref, pour mon début à cette école, ça avait l'air bien parti ! Les profs aussi avaient l'air super. Oui, tous... sauf la maîtresse de mathématiques commerciales qui a eu l'air particulièrement revêche. En fait, elle a annoncé qu'elle se permettrait de pratiquer la manière forte avec une éducation à la dure et à l'ancienne.

Qu'est-ce qu'elle voulait dire par là ? On n'a pas tardé à le savoir. Avant même la fin de la première séance, elle mettait une de ces fessées à une pauvre fille qui n'avait pourtant pas fait grand chose de mal, elle avait bavardé puis lancé une gomme à une camarade, et (c'est cette dernière faute qui lui a valu la fessée), enfin elle a répondu à la maitresse avec un soupçon d'impertinence. La maitresse a fait venir la fille sur l'estrade, et là, sans autre forme de procès, elle s'est levée, l'a courbé sous son bras puissant et elle a claqué de toutes ses forces ses fesses. Elle doit avoir une force herculéenne, cette maitresse, car non seulement l’élève ne semblait pas pouvoir échapper, mais elle s'est mise a sautiller comme une forcenée en essayant désespérément d'interposer sa main.

Heureusement pour elle, elle n'a pas été déculottée, mais la protection de la minijupe semblait bien insuffisante... Qu'est-ce que ça aurait été si elle avait été déculottée ! Et quand elle a relâché la fille, la maitresse, a annoncé que, pour les fessées suivantes, elle baisserait les culottes, devant toute la classe !!! Il y a eu un murmure dans la salle. On a évidemment tous pensé que ce serait super d'assister à un tel spectacle, mais on a aussi immédiatement tous frissonné à l'idée que le suivant pourrait être n'importe lequel d'entre nous. La leçon s'est d'ailleurs terminée sans qu'il y ait une autre fessée.

Le soir, dans ma petite chambre d'étudiant, je ne trouvais pas le sommeil. Je n'arrêtais pas de penser : "Ouaah ! Une fessée déculottée ! J'aimerais tellement assister a ça ! Et surtout si ça pouvait être une fille ! Vraiment ce serait un spectacle incroyable". Et juste après je me disais : "Oui, mais... et si c'était moi le suivant ?". A un moment je me suis levé et je me suis baissé mon short de pyjama pour voir ce que ça faisait. J'ai frissonné en imaginant qu'elles étaient toutes là, les filles, derrière, à voir ce qui se passait ! Terrible. J'avais une conscience plus aiguë que d'habitude de ma nudité. Mon attention était portée vers mes parties intimes, mises à l'air libre, et, comme je l'imaginais, en spectacle. Et je sentais bien la honte qui m'envahirait si c'était pour de vrai, devant toute la classe !

Et puis j'ai commencé à essayer de me claquer les fesses, d'abord doucement puis de plus en plus fort. Je devais avoir l'air con... J'ai serré les dents et j'ai vite arrêté ! Putain, ce serait vraiment terrible, je n'ai sûrement pas frappé à la moitié de la force du maitre, mais je ne supportais déjà presque plus ! Bon finalement je me suis rassuré en me disant qu'après tout il suffisait de faire attention et que ce ne serait pas moi qui la recevrait. Le lendemain, à l'école, la pauvre fille qui s'était fait fesser la veille (elle s'appelle en fait Suzie) n'osait regarder personne en face. Elle est allée s'asseoir la tête basse, l'air complètement honteuse. Moi je ne pensais plus tellement à mes craintes. Je me réjouissais plutôt du cours. Et puis, le spectacle d'une fessée déculottée ne pouvait être qu'un plus très sympathique !
Je regardais Isabelle deux rangées en avant de moi. De temps en temps elle se retournait et me souriait. En fait j'étais stupide car je ne suivais plus tellement la leçon. Et la voix du prof a soudain retenti à mes oreilles comme un coup de tonnerre qui m'a glacé le sang :

- Frédéric, vous ne suivez pas le cours ?

Depuis ce moment, j'ai essayé de me concentrer, mais je crois bien que la maitresse m'avait dans le collimateur. Elle m'a rappelé trois fois à l'ordre. Je me sentais me liquéfier proprement dit. Je devais être rouge comme une pivoine, car je voyais les camarades qui commençaient à me regarder avec une lueur amusée dans les yeux. C'était le cauchemar qui commençait... Au quatrième avertissement, j'ai vu la maitresse se précipiter vers moi, en furie. Elle m'a attrapé et m'a forcé à me lever. J'ai cru que c'était le moment de la déculottée ! Mais non, elle m'a juste crié :

- Mais tu veux vraiment que je te les baisses, tes culottes, sale petit garnement ?

Et en fait elle m'a courbé sous son bras pour me donner, comme à Suzie, une fessée magistrale, mais seulement sur le pantalon. Et là, à ma grande surprise (je pensais pourtant avoir plus de cran pour résister, comme un grand garçon que j'étais), comme Suzie la veille, je n'ai pas pu m' empêcher de sautiller dans tous les sens en poussant de petits cris. Et quand elle m'a relâché, elle a prononcé une phrase qui est inscrite aujourd'hui en rouge dans ma mémoire :

- La prochaine fois, je te baisse les culottes !

Il y a eu une rumeur de réjouissance dans la classe. Et elle ajouté, l'air méchant :

- Oui, ici, devant tous tes petits camarades !!! Tu m'as bien entendu ? Et regarde-les bien : tu peux me croire, ils se réjouissent beaucoup !

Ça y était. Cette fois je n'avais plus d' échappatoire. Et je savais bien, au fond de moi, que j'allais y passer. Effectivement, moins de cinq minutes plus tard, je re-entendais cette phrase, encore plus terrible que la précédente, qui a résonné comme un coup de poignard dans mon cœur :

- Frédéric ! Cette fois je te baisse les culottes !

Éclat de rire dans la classe pendant que la maîtresse me forçait à me lever et me traînait vers l'estrade, trébuchant à moitié, hurlant de tous mes poumons.

- Non ! Nooon ! Je ferai attention maintenant !!!

En passant à côté d'Isabelle, je me suis dit : "Oh non, pas en plus devant elle !" Mais elle souriait d'un air goguenard et j'ai bien compris qu'elle n'attendait que ça, elle aussi, la salope ! La maitresse a grommelé :

- Trop tard il fallait y penser avant !

Et, arrivé à l'estrade, elle a entrepris de dégrafer mon jean et de le baisser aux chevilles. C'était l'horreur totale. Dans un instant ce que j'avais craint dans mes pires cauchemars allait se réaliser ! Il y avait un silence de mort, à peine brisé par un léger frémissement d'impatience de la part de certaines filles. En me retournant à moitié j'ai pu en voir, au fond qui se levaient pour bien voir ! ET ENFIN, ENFIN, la maîtresse A BAISSE LA CULOTTE !!! Ca y est, cette fois tout était à l'air libre, offert généreusement en spectacle. J'ai senti le petit courant d'air sur mes fesses et j'ai entendu des ricanements et des pouffements de rire. Mais le pire restait à venir. La maitresse a plié un genou, m'a basculé sur ce genou en me coinçant sous son bras et s'est mis à claquer mes fesses le plus fort et le plus rapidement possible, en levant très haut le bras à chaque fois. La première claque m'a presque coupé le souffle. D'une violence inouïe, elle m'a littéralement brûlé les fesses.

Et les suivantes n'ont fait qu'augmenter cette sensation de brûlure horrible. C'était comme si on me plaquait un fer chauffé au rouge sur les fesses à chaque claque ! J'ai essayé de me mordre les lèvres, mais en quelques claques, je n'y tenais plus et je n'ai pas pu me retenir de crier, de sautiller et de me tortiller dans tous les sens en perdant toute pudeur, le zizi ballotté obscènement dans tous les sens. J'ai essayé désespérément d'interposer ma main, mais la maitresse a saisi ma main et l'a coincée solidement en arrière dans mon dos, et elle a continué la fessée interminablement; je n'avais plus d'autres possibilités d'échapper que de me tortiller dans tous les sens comme un ver de terre ! Au bout de quelques longues minutes, et certainement déjà des centaines de claques, fatiguée de lutter, la maitresse a interrompu un instant la fessée, m'a redressé, s'est levée, a été chercher sa chaise de bureau en me traînant derrière elle, tout déculotté, trébuchant. Elle a amené cette chaise au milieu de l'estrade, l'a montée au maximum, s'est hissée dessus, face à la classe, et m'a basculé sur ses deux genoux repliés cette fois, si bien que j'étais de profil par rapport à la classe.

D'un simple mouvement de tête, je pouvais voir toutes les frimousses hilares qui me dévisageaient. Elle a encore attrapé le pantalon, l'a enlevé complètement et laissé choir au sol, mais elle a laissé la culotte enroulée aux cuisses. Puis elle a enroulé solidement son bras autour de ma taille et elle a repris la fessée, encore plus fort, encore plus rapidement qu'auparavant. Cette fois j'ai perdu toute pudeur. Je me suis mis à ruer des jambes dans tous les sens, en les écartant et en les rapprochant, en ne me rendant même plus compte de ce que ces mouvements ridicules laissaient entrevoir toute mon intimité à toute la classe, derrière moi. Parfois je me redressais presque debout, en posant même les pieds par terre, et tout de suite après je me repliais complètement sur le genou du prof, ce qui avait aussi pour effet de m' écarter les fesses en dévoilant mon petit trou du cul à ceux qui étaient derrière moi, tout cela, bien entendu, sous les yeux de tous mes camarades qui ne perdaient pas une miette du spectacle. Parfois encore, je me roulais sur moi même à droite et à gauche, et ainsi je montrais tout à fait directement, et sans plus aucune pudeur, mon sexe a toute la classe !!! Le spectacle devait être exceptionnel. Mais pour moi c'était l'horreur totale.

Certains élèves regardaient bouche-bée, tandis que d'autres, qui avaient commencé par se mettre la main devant la bouche comme s'ils n'osaient pas rire franchement, se sont soudain mis à lâcher complètement les vannes et à rire à gorge déployée. La plupart des élèves des deuxièmes rangs et plus s'étaient levés pour mieux voir. Certains ont même osé se lever pour s'approcher dans le couloir, entre les tables. La cuisson était horrible. Je savais que mes mouvements désordonnés et incontrôlables ajoutaient encore au ridicule du spectacle que j'offrais, et pourtant c'était plus fort que moi, je ne pouvais plus m'empêcher de faire ces mouvements, tant la douleur était épouvantable. Ah! combien j'aurais aimé ne jamais en arriver à tout montrer de façon si honteuse ! A un moment, j'ai cru me rendre compte que le grand jeu était devenu d'essayer d'apercevoir mon zizi, ballotté qu'il était au gré des claques incroyables que je recevais et de mes mouvements ridicules !!!

Mais je ne pouvais absolument pas m'empêcher de ruer des jambes dans tous les sens, d'essayer vraiment désespérément d'interposer ma main, et de me tortiller comme un diable pour essayer d'échapper, mais totalement en vain ! Pour finir, je n'ai pas pu me retenir, quelque chose a craqué en moi, les larmes ont giclé de mes yeux, je me suis mis à pleurer en hurlant comme un gamin jusqu'à ce que la prof arrête enfin cette formidable fessée en me poussant en bas de ses genoux. Je suis tombé et me suis relevé immédiatement pour courir me cacher hors de la classe, en essayant vainement de remonter mes culottes... sous les rires de la salle ! Mais La maîtresse m'a couru après et m'a ramené en classe. J'étais là, debout, le sexe à l'air, ne sachant plus si je devais me frotter les fesses qui me cuisaient tant ou cacher mon sexe honteusement exhibé. Et c'est la maîtresse qui a conclu en regardant avec un petit sourire mon sexe et mes fesses rouges :

- Voilà. Maintenant qu'on a bien vu tout ça, tu peux le rentrer ! Reculotte-toi et retourne à ta place. J'espère que ça t'aura servi de leçon..."

J'ai remonté ma culotte et mon pantalon et je suis retourné à ma place sous les yeux goguenards de mes camarades. Je marchais la tête basse, le visage bouffi, les yeux pleins de larmes, je reniflais et étais encore secoué de quelques restes de sanglots. Je n'osais pas lever les yeux, de peur d'y croiser les regards de ceux qui ont tout vu.

A la récréation, j'ai été me cacher... heureusement personne ne m'a vu. Ils me cherchaient et je les entendais qui se moquaient (surtout les filles, d'ailleurs) :

- Ha ha ha ! Ce que c'était drôle !

- Tu as bien tout vu, n'est-ce pas ?

- Oh oui, on a vraiment tout vu ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

- Ce que c'était drôle, son petit zizi ballotté dans tous les sens ! Hein ?

- Oh oui, je rêvais de voir ça depuis si longtemps ...

- Et ses mouvements ridicules pour essayer de s'échapper...

- On aurait dit qu'il voulait encore mieux tout nous montrer !

- Oh oui ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

Alors je me suis enfui et pendant deux ou trois jours je n'ai pas osé retourner à l'école, je n'ai même plus osé mettre le nez dehors ! Mais au bout d'un certain temps, l'école a averti mes parents, qui m'ont convaincu de revenir a l'école . Ça a été très dur, car je croisais sans arrêt des regards de ceux qui avaient tout vu. Il y en avait même qui se moquaient de moi, surtout les filles. Mais au bout de plusieurs jours, ça s'est calmé.

Il faut dire que la méthode a eu du bon, car je me suis bien tenu et je n'ai plus jamais été fessé. Les fessées se sont ralenties. Je crois que le prof a surtout cherché à faire un exemple avec moi. J'ai tout de même assisté encore à trois fessées dans les deux premiers mois. Et je ne me suis pas gêné pour regarder et rire a mon tour, surtout que, vous me croirez ou non, c'est Isabelle qui a été la suivante à être fessée, une semaine après moi ! Elle pleurait, elle aussi, comme une petite fille et nous montrait vraiment tout généreusement en lançant furieusement ses jambes en arrière, ce qui avait pour but de la redresser sur le côté et de nous montrer ! C'était magique, comme moment !

Quand j'ai vu apparaître ses petites fesses, et surtout plus tard sa petite chatte, je m'en rappelle encore, je me suis frotté discrètement contre le dessous de ma table... et j'ai joui ! Si je vous écrit ça, voyez-vous, c'est parce que, aussi bizarre que cela puisse paraître, le souvenir de cette terrible honte s'est inscrit dans mon cerveau et me procure de plus en plus une sensation étrange de plaisir inavoué. En somme, ça m'excite d'y repenser. Pourquoi ? Peut-être aussi a cause du fait que j'ai joui de voir Isabelle dans cette situation. Alors j'aimerais trouver quelqu'un qui me fera revivre cet évènement terrible, pour une sorte de psychanalyse, en somme. Il faudrait un prof sévère et des jeunes filles qui assistent, qui verront tout et qui poufferont de rire comme des adolescentes.

 

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