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Far West
par Ralph le, 16/10/2012

Dès l’âge de 13 ans, j'étais très excité par mes petits copains qui se dessapaient dans les vestiaires avant et après les cours de gym: j’imaginais leurs queues et leurs fesses sous les serviettes dont ils se servaient au moment d’enfiler ou de retirer leurs slips et leurs tenues de sport. Devenu adolescent, j’ai pris de plus en plus de plaisir à traîner dans les vestiaires, les piscines, les plages et les salles de gym. Je me passionnais aussi pour par les BD ou l'on voyait des garçons plus ou moins dévêtus et attachés (Alix, Rahan).

J’ai également beaucoup fréquenté les colonies de vacances, d’abord en tant qu’élève puis en tant que moniteur, et j’aimais particulièrement jouer aux cow-boys et aux indiens. Souvent, ce jeu se transformait en une véritable petite guerre entre deux bandes rivales: on se cachait, on se poursuivait et on s'attrapait, chaque bande faisait des prisonniers… A plusieurs reprises, je me suis retrouvé en slip sous la tente, pieds et poings liés, en compagnie d’un ou deux autres camarades eux aussi attachés en petite tenue: inutile de vous dire que j’avais du mal à cacher un début d’érection!

Alors que j’étais moniteur, il m’est arrivé un jour d’être choisi comme chef des cow-boys. J’étais à la tête d’une dizaine de cow-boys, tous équipés de superbes chapeaux, de ceinturons et de pistolets achetés au marché de la ville.

Les autres moniteurs avaient choisi le camp des indiens. Pendant toute la journée, le jeu se déroula sur un ton bon enfant, les "morts" se relevaient après cinq minutes d'immobilité obligatoire, les prisonniers des deux camps étaient bien traités et rapidement échangés contre d'autres prisonniers, etc...

Les choses se gâtèrent en fin d'après-midi, lorsque je me trouvai encerclé par une dizaine d'indiens encadrés par deux moniteurs qui se faisaient appeler Grand Bison et Grand Loup.

Grand Bison me lança un regard cruel et dit à sa petite troupe: "Mais c'est Ralph, le chef des cow-boys, tenez-le bien et ne le laissez pas s'échapper"... Aussitôt, une dizaine de mains m'agrippèrent, m'enlevant mon chapeau, mon ceinturon et mon pistolet.

Grand Bison lança alors un clin d'œil à Grand Loup et demanda: "Alors, valeureux guerriers, qu'est-ce qu'on va faire de ce méchant homme blanc?"

Après quelques secondes d'hésitation, l'un des indiens s'écria: "On va le foutre à poil"... et un autre ajouta: "Oui, et ensuite on l'attachera au poteau de torture"...

Vous imaginez la suite: en quelques secondes, je me retrouvai entièrement nu, bâillonné et m'attaché debout à un arbre, au plus profond du bois. Puis, avant de m'abandonner à mon triste sort, Grand Bison vint me titiller le sexe en me murmurant à l'oreille: "Je crois que ça t'excite, non? Tu n'as plus qu'à prendre ton mal en patience car on ne viendra te libérer que demain matin et, attaché comme tu l'es, tu ne pourras même pas te branler pour passer le temps"...

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