Chantage odieux 4

La journée fut plus calme. Retour maison pour repas, renfilage d’un maillot, re-moqueries sur mes humiliations. Puis de nouveau plage. Soirée calme avec ses copines. Emilie se coucha tôt et donc je fus au calme pour me coucher. Nathalie et Mayline étaient sortie pour la soirée.

Mais avant j’avais voulu regarder la TV, après avoir zappé de nombreuses chaînes je décida de profiter de la soirée tout simplement sur le canapé sans rien faire, le bonheur.

Je me jeta en arrière et me cala sur le canapé moelleux. D’un geste sec, j’éjecta mes baskets qui tombèrent lourdement et commença à m’assoupir…… hummmm, c’est trop bon.

Le réveil fût doux. Je sentis une légère caresse sur la joue suivi d’un baiser…. « Jules ? tu dors ? »… C’était Nathalie.
J’entrouvris les yeux et souris en regardant ma cousine : »hummm, c’est toi? super, je suis content de te revoir sans l’autre » Puis je me redressa en apercevant une silhouette derrière celle de Nathalie. J’aperçus une grande brune qui me regardait.
« oh ! Mayline tu fais quoi ? Tu t’assoupis ? »
J’ai toujours adorais Nathalie, j’aurais voulu l’avoir pour moi tout seul ce soir, de quoi remettre les choses au point, et je n’était pas ravi de devoir supporter l’autre cousine. « Pas la peine de rester vous pouvez retournez au cinéma si vous voulez »

Nathalie semblait surprise et embêtée par ma réaction. « oh ! calme toi Jules, sinon je peux encore te mettre à poil ! »

elles se regardèrent fixement et après un moment de tension, elles s’esclaffèrent en même temps, mettant fin à cette tension. Nathalie me prit dans ses bras, me fit un gros bisou sur sa joue et chuchota à mon oreille « on va passer une bonne soirée ».
Moi tout souriant désormais alla saluer Mayline et lui fit deux bises sur la joue. Pour me taquiner, Nathalie en profita pour me mettre une tape sur les fesses en disant : « je te préfère comme ça jolies fesses »…
Je me tortille en riant et poussa un « aahhhh! ».

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Maryline qui n’avait rien dit remarqua : « vous avez l’air très complices tout les deux »
Nathalie en riant : » oui, et surtout depuis que je sais que Jules à de jolies fesses bombées…. et toutes blanches hahahaha! »
Maryline en riait aux éclats
J’était partagée entre le rire et la gêne…..
Maryline ajouta : « Il a l’air d’avoir toujours de jolies fesses, je n’ai pas pu le remarquer »
Nathalie : « oui, c’est vrai hahahaha »
Maryline : « mais sont-elles toujours aussi blanches depuis la dernière fois ? »
Je me défendis en riant : « vous avez fini de parlez de mes fesses ? »
Nathalie : oui, je crois qu’il a toujours les fesses blanche hahaha !
Moi : « non, ce n’est pas vrai ! »
Nathalie : « si tu es un joli petit cul blanc hahahaah ! »
Toujours moi : »non, arrêtes » même si je ne pouvais pas m’empêcher de rire aussi
Maryline osa : « prouve le ! »

Moi: « quoi ?! »
Maryline « prouve nous que tu n’as pas les fesses blanches ! allez ? Chiche »
Nathalie : « oui, chiche! »

Après un moment d’hésitation, je tortilla du bout des doigt le petit débardeur blanc que je portait puis contre toute attente, je le souleva légèrement découvrant mon nombril, et jeta mon haut à terre doucement, j’étais désormais torse nu. Je déboutonna lentement mon pantalon… »
Maryline et Nathalie regardaient en souriant mon petit déculottage … elles y croyaient à peine et n’en revenaient pas.
Profitant de mon statut de star du moment et de l’attention que je provoquais,lentement très lentement je fît glisser ma fermeture éclair et une fois arrivée en bas, je dandina langoureusement des hanches avant de me retourner.

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Je me cambra et enfonça ses deux pouces dans le pantalon en faisant languir sur le fait que j »allait le baisser….
Nathalie et Maryline étaient amusée et ravies de ce petit burlesque sympathique et m’encourageaient du regard.
Maryline: »wahouuu, il a l’air douée »
Nathalie « oui, c’est presque inquiétant à son âge, puis c’est un mec… »
Maryline : »allez, vas y, montre tes fesses ! »
Nathalie : »oui, tes petites fesses blanches !!! »
Je continuais mon show et fit descendre ma main gauche, faisant baisser mon pantalon et mon boxer de quelques centimètres et découvrant le haut de sa fesse gauche
Marilyn : « yes !!!! encore »
Nathalie : « oui ! à poil ! »

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Et là, contre toute attente, je me redressa, me retourna vers les deux autres filles et éclata de rire : »allez ! fini ! hahahah ! »
et j’ajouta « non mais vous croyais réellement que j’allais baisser mon froc pour vous faire plaisir hahahaah ! »
« regardez votre tête ahahahahah ! »
Je me moquais clairement des deux autres.
Marylin et Nathalie se regardèrent, un brin dépitées et contrariées d’être prises pour des cruches. Sans se parler, elles se comprenaient déjà. Lentement, elles s’approchèrent de moi « oh oui, tu nous as bien eu »… « on aurait aimé voir tes fesses…. »
Puis d’un seul coup, Nathalie me poussa qui m’affala sur la canapé et se cabra contre moi pour me tenir les mains en l’air, au dessus de la tête contre le dossier du meuble « Maryline, vas y, je la tiens!!! »
J’étais partagé entre le rire et le besoin de me libérer « ha non ! qu’est-ce que tu fais ».
en guise de réponse, Maryline attrapait le bas des jambes du pantalon et tira d’un coup sec. Le pantalon glissa sous les fesses entrainant partiellement le boxer qui dévoilait déjà mes hanches blanches
« oh non ! arrêtez !

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Nathalie « Si ! on va voir tes fesses ! »
Marylin « et le reste aussi ! » et pour conclure sa phrase, elle tira le tissus encore plus fort et arracha le pantalon en entier, le boxer enroulé à l’intérieur laissant mon énorme sex dévoilé.
Je sentis un coup de fraicheur remonter le long de mes jambes, envahir mes cuisses jusqu’à mon sexe nu et dévoilé : « oohhh ! pas ça !! » Il était tout dressé, vif.
Nathalie « à poil ! à poil ! à poil !!!!!!!! »
Marylin « on voit ton sex !!!!! »
Je me tortillais, essayant de me libérer de l’étreinte de Nathalie. J’étais gêné, honteux et plié de rire en même temps, un rire d’excitation…. oui l’excitation qui commençait à monter.
Nathalie : »on veut voir tes fesses, on veut voir tes fesses !!!!! »
Marylin : et là, on voit ton sex ahahah ! Il est beau tout bandé »
Moi : « non, cache mon sex, cache mon sex »

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Marylin « d’accord » et comme pour joindre le geste à la parole, elle posa sa main sur ma cuisse et remonta rapidement jusqu’à mon entre-cuisse, prenant mon sexe à pleine main.
Je poussa un soupir sec. Je sentis mon souffle se couper et une vague de chaleur remonter dans mon bas ventre »ouch!!! »
Marylin poussa son avantage. Elle appuyait du plat de sa main mon sex et imperceptiblement, elle faisait des petits vains et viens avec sa main, provoquant un massage dans mon intimité.
Je me sentis envahir par une vague de chaleur et de tendresse.

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Nathalie qui devinait mon état relâcha un peu son emprise sur ses poignets et pu constater que je n’essayais plus de me dégager. Elle m’embrassa sur la joue et lui chuchotta des mots gentils « calme mon beau…. Calme… ».
Pendant ce temps, Marylin poursuivait sa caresse : « hummmm, tu aimes ça qu’on voit ton sex pas vrai ? »…. «
J’étais partagé entre le plaisir et la gêne…..
Elles me relâchèrent et d’un air malicieux elles ajoutèrent … « Tu penses qu’il tient combien de temps avant de jouir ? … mais… Je pense que ce serait encore mieux si il avait des menottes. »

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Déjà j’attrapais mon torse à pleine mains comme pour me protéger… mais je me dis que ce ne devait pas être désagréable de se les faire attacher….. Du coup, j’en oubliais que j’étais nu sous le nombril…. j’étais bien ainsi, sans boxer…. exposé…. hummmm

PARTIE 2 : En cours



Es-tu résistant au caresses mon petit Jules ?


C’est clair, elle a une idée derrière la tête. Ça tombe bien, excité comme je suis, je suis très réceptif. Je rétorque :



— Je sais faire durer le plaisir.


Elle darde ses yeux légèrement bridés dans les miens. Elle est très belle avec son teint bronzé et son corps svelte.



— Longtemps ?
— Ça dépend qui me caresse.
— Et si c’était moi ?


C’était çà, son idée. Elle m’a surpris. J’hésite.



— Probablement très longtemps !
— Essaye quand même ! Si tu tiens 20 minutes, je retire mes vêtements.
— C’est tout ? dit Nathalie


Je saute sur l’occasion :



— Et je te caresse tout aussi longtemps que je veux !


Elle hésite et dit :



— D’accord, mais alors là, ce sera encore plus cher pour toi : si tu perds et que tu jouis sous mes caresses, tout le monde pourra assouvir un fantasme sur toi ! Je suis sûre que Maryline en à encore plein !


Sûr de ma victoire, j’accepte. Je m’allonge sur le canapé. Maryline règle l’alarme sur 20 minutes et c’est parti.



Elle s’agenouille sur une serviette près de moi et commence à me caresser. Dès le premier contact, je sens qu’elle est experte. Elle pose sa main sur mon ventre et fait lentement glisser le bout de ses doigts sur ma peau. Elle descend vers ma hanche droite. Très lentement. Elle évite mon sex et se dirige vers l’intérieur de mes cuisses. Ça m’arrache un frisson.



— Tu aimes ça, on dirait…


Maryline semble subjugué. Pour faire diversion, je déclare :



— C’est vrai, tu ne te débrouilles pas mal. Mais cela ne t’empêchera pas d’échouer. Je me vois déjà te retirer ta petite culotte … et te mettre mes mains partout, partout…
— Ce serait agréable, mais j’ai décidé que ce ne serait pas pour tout de suite…


Sa main glisse avec légèreté sur ma cuisse et remonte, remonte en contournant mon sexe. Elle me caresse doucement mon torse, à deux mains. C’est très agréable. Elle descend maintenant… se dirige vers mon sexe lentement… elle approche en me caressant doucement le ventre au passage et atteint enfin ma bête. Elle la caresse doucement. Ça m’arrache un nouveau frisson. Elle en profite pour demander à la cantonade :



— Alors, vous avez préparé vos gages ? Toi Maryline…
— Elle aura droit à la fessée qu’elle n’a pas encore eue.
— Donne-nous des détails, Maryline, insiste Nathalie. Comment feras-tu ?
— Je la ferai allonger sur mes genoux et je commencerai à taper. D’abord doucement, puis de plus en plus fort. Jusqu’à ce que son beau petit cul qu’il aime tant montrer devienne tout rouge ! Je suis sûr que ça le refara rebander.


Ça ne m’étonne pas d’elle. Pendant ce temps, la main de Nathalie continue son manège. Je sens que la chaleur de mon sexe contre sa main.



— Écarte un peu les cuisses, mon chérie !


Je m’exécute sans réfléchir et sa main entoure ma partie intime. Hmm … c’est très bon ! Je jette un œil sur le chrono : 5 minutes à peine se sont écoulées. C’est plus dur que je ne pensais. Ou plutôt, c’est plus doux !



— Tu n’en n’aurais pas un autre ?
— Moi, ce dont j’aurais vraiment envie c’est sentir son sex jusqu’à qu’il atteigne la limite….


Elle hésite.



— Et ? l’encourage Maryline.
— …et à ce moment, de me retirer, de m’agenouiller pour que je le finisse dans ma bouche !
— Ça se corse ! s’exclame Nathalie.


La cochone ! Elle remonte alors vers mon sexe et commence un va-et-vient. C’est ignoblement doux, ce qu’elle me fait. Mais il faut absolument que je résiste. Mais Nathalie rajoute :



— Et tu vas tout avaler ?
— C’est ça ! Je me le finirai dans ma bouche ouverte et j’avalerais tout.
— Tu n’as pas le droit de l’influencer ! m’exclamé-je.
— J’espère que je pourrais prendre des photos de l’engin avant, est sa seule réponse.


Bande de cochonnes ! Hmmm ! Elle vient d’attaquer mon sexe. Que c’est doux ! Elle me caresse bien ! Je ne vais jamais pouvoir tenir jusqu’au bout ! Oh ! La coquine ! Elle titille mon ventre maintenant ! Je ne vais tout de même pas jouir en public ! Par ma cousine en plus, quelle humiliation ! Surtout qu’après pour couronner le tout, je serai livré en pâture à tous ces femelles en rut. Elle continue encore et encore ; elle arrête ; ouf ! J’étais tout près. Elle me caresse avec ses deux mains maintenant. Que c’est bon ! Je maîtrise mieux mes sensations. Je jette un coup d’œil à la montre : plus que 9 minutes ; je vais y arriver. Voilà qu’elle remonte à nouveau, ses mains reviennent vers mon sexe, c’est trop bon, je vais partir ! Je resserre les jambes.



— Ah non, tiens-toi tranquille ! On n’avais pas promis de t’attacher ?


Je suis à leur merci, je ne peux plus bouger. Elle reprend ses caresses encore plus doucement. C’est encore plus affreusement excitant. Maintenant que j’ai les jambes écartées, elle s’en donne à cœur joie ! Elle me caresse l’intérieur des cuisses. Elle se penche … oh non, elle ne va pas mettre sa langue ?! Elle approche son visage … sa bouche se rapproche de mon sexe ! Quel effet çà va me faire ? Ah çà y est ! La coquine, elle léchouille ma glande ! C’est délicieusement insupportable ! Elle retire alors sa langue et demande :



— Et moi au fait de quoi ai je envie ?
Je l’avais oublié celle là



— Regarde comme tu m’as excité ! C’est pas humain de me laisser comme ça ! Je veux jouir en toi..
— Oh la cochonne ! Mais quel beau spectacle en perspective ! Je ne veux pas manquer ça… renchérit Maryline.


Et voilà qu’elle reprend ses léchouilles. J’ai follement envie de jouir. Mais non, non ! Résister encore pour ne pas devoir satisfaire tous ces femelles. Ces cochonnes vont en boire une telle quantité ! Il faut que je me reprenne ce serait trop bête, il ne reste que 6 minutes !! J’entends Nathalie dire :



— Allez viens ! Laisse-toi aller. Jouis en pensant au verre de bon jus que je vais avaler ensuite !


Tout en me léchant, elle me caresse alors langoureusement l’intérieur des cuisses pendant un moment, puis elle me donne un léger coup de langue sur mon sexe. Je sursaute de plaisir. Elle recommence. C’est bon. Encore. C’est affreux, je vais y passer ! Je sens que le prochain coup sera fatidique. Je vais jouir tellement fort qu’il y en aura partout !



— Allez vas y ! Fais-le partir, l’encourage Maryline.


Je tente un :



— Non…


J’entends un :



— Si !


Encore un coup. Elle me regarde dans les yeux et me dit :



— Allez je vais t’achever. J’ai envie de te voir soumis.


Elle se penche alors, dirige sa langue sur mon sexe et l’agite furieusement. Combien de temps reste-t-il ? 3 minutes ? Trop tard ! Cette fois çà y est, je vais exploser. Tans pis, j’ai trop envie de jouir. Je vais devenir leur jouet sexuel… La vague de plaisir si longtemps contenu monte. Je halète. J’entrevois le regard lubrique de Natalie. Sa petite langue tourne de plus en plus vite sur mon sexe, encore, encore, encore. Je jouis.. Nathalie continue sa caresse pour consommer ma défaite. L’alarme sonne. Trop tard. Je jouis. J’explose.

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