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Visite médicale humiliante, partie 4
par Anonymous le, 10/04/2021

Le docteur Livesey, tenant toujours le petit robinet de Luke entre son pouce et son index, se tourna vers Michelle en expliquant « Il y a de nombreuses techniques que les garçons utilisent pour se masturber… sans doute que la plus commune est de serrer le pénis en érection dans la paume d’une main… et parfois exceptionnellement, quand le garçon est bien pourvu à l’aide des deux mains, mais je pense que ce n’est pas l’exemple qui correspond le mieux ici... »

Michelle écoutait avec incrédulité la doctoresse. Elle ne pu s’empêcher de regarder la petite queue de Luke alors qu’elle visualisait un garçon se tenant debout à la place de Luke… mais ayant lui un pénis nécessitant deux mains pour se masturber !

« … oui Michelle, des garçons tels que tu te les représentes ont été examinés dans cette même pièce », dit la doctoresse, lisant apparemment les pensées de la jeune fille. « Peut-être qu’en tant qu’interne, tu auras l’opportunité d’agir comme observatrice... »

Ayant enduré les moqueries des jeunes garçons au club de natation ne semblait plus grand-chose en rapport à ce que Luke était en train de ressentir dans le bureau du docteur Livesey. Il se maudit d’avoir évoqué le sujet des moqueries subies à sa mère. Mais pourtant, sa mère savait lorsque quelque chose clochait, Mrs Browne savait que son fils était travaillé par quelque chose et elle se mit en tête de trouver ce dont il s’agissait. Luke se souvint du jour où il avait révélé l’origine de ses tracas. Il revenait d’une compétition de natation et était dans sa chambre à essayer un nouveau maillot de bain, quand sa mère entra. Luke se sentait déjà vulnérable car deux ados de 13 ans s’étaient moqués de la taille de son pénis. Maintenant qu’il se retrouvait exposé à sa mère, c’était encore pire. Il se revit assis sur son lit, son slip de bain maladroitement enfilé, racontant ses soucis à sa mère. Mrs Browne le consola. Il lui demanda de ne pas en parler à son entraîneur. Sa mère réfléchit alors au moyen de résoudre le problème, une visite chez le docteur Joanna Livesey lui semblait la solution la plus adaptée.

Luke baissa les yeux pour voir que la doctoresse utilisait le bout de ses doigts afin de rétracter la peau de son prépuce : « C’est toujours nécessaire de s’assurer qu’on puisse correctement décalotter le gland… c’est aussi un bon moyen pour garder la peau lisse et fluide dans le mouvement de rétractation… comme vous pouvez le voir celle de Luke glisse assez bien, probablement du à des activités masturbatoires fréquentes... »

Il y eu un raclement de gorge venant de Mrs Browne, qui avait sans doute établit un plan pour contrôler le rythme de masturbation de son fils.

Alors le docteur Livesey reprit, se tournant une fois de plus vers Michelle : « Tu ne pourras pas voir correctement de là où tu te trouves, mais Luke est en train d’avoir une érection… oui, son petit pénis se durcit… rapproche toi un peu, Michelle et… oui c’est parfait… peux-tu voir comment son petit sexe se dresse vers le haut maintenant ? »

Michelle s’exclama d’instinct : « Puis-je… puis-je le toucher , docteur ? »

« Pourquoi pas, oui bien sûr que tu peux, Michelle… je vais juste relâcher la calotte pour qu’elle recouvre à nouveau le gland. Quand tu es prête, tu peux essayer de la retrousser toi-même... »

Dans un premier temps, Michelle se saisit de la petite queue toute dure du Luke avec le bout des doigts.

« Ca ne semble pas bien plus gros qu’avant, docteur Livesey… est-ce normal ? » Demanda-t-elle.

« En théorie, on devrait s’attendre à voir le pénis s’allonger davantage durant une érection, parfois d’une façon très notable. Chez la plupart des garçons, le ratio entre la longueur au repos et la longueur en érection est considérable. L’épaississement de la verge survient en même temps et si tu te souviens de tes cours de biologie, Michelle, tu ne seras pas sans savoir que le gonflement et l’allongement de la verge sont dus à l’engorgement sanguin du corps caverneux… les tissus érectiles composant la plus grande partie du pénis. Cependant dans le cas de Luke, il y a un manque certain de ce type de tissu, mais si tu regardes de plus près, si on ne constate pas un allongement de son pénis, il a pourtant gagné en épaisseur... »

« Oh, oui docteur...oui, je peux le sentir un peu plus épais... »

« ...et bien sûr il pointe vers le haut… et est assez dur. Pourquoi ne pas vérifier la rigidité du pénis de Luke, Michelle… ramène le vers le sol et laisse le se redresser… c’est ça… très bien, Michelle. Maintenant je veux te voir retrousser la calotte de son gland... »

Michelle, le visage imprégnée d’une studieuse concentration, saisit délicatement la peau du prépuce. Doucement elle découvrit la tête du pénis, rétractant la peau vers la la base de la verge et exposant ainsi complètement le gland.

« Très bien, Michelle », dit la doctoresse. « Maintenant couvre à nouveau le gland et réessaie… excellent, Michelle… très bien. Maintenant refais le encore… ramène le prépuce vers le bas… maintenant remonte le encore une fois… très bien Michelle… nous voulons être sûres que le prépuce de Luke est bien glissant et ne rencontre aucun blocage sur un pénis en érection. »

Michelle se tourna vers la doctoresse : « Docteur, son pénis… il y a quelque chose qui en coule… ça rend son prépuce glissant... »

Michelle fit une pause alors que le docteur Livesey lui expliquait que la verge de Luke, à force d’être stimulée, commençait à produire du liquide pré-séminal. C’était le signe que Luke était prêt à émettre du sperme. Michelle fut invitée à retrouver son siège et alors qu’elle se rassit elle vit la petite queue toute dure de Luke bouger et trembler toute seule.

Luke tremblait de frustration. Personne n’avait jamais toucher son sexe en érection avant ça. Avoir été tripoter par belle et jeune fille comme Michelle rendait l’épreuve encore plus difficile. Humilié comme il était, il était néanmoins incroyablement excité au point de regretter le départ de Michelle qui venait de retrouver sa place, abandonnant sa queue durcie à un tremblement qui témoignait de son désir d’être soulagée.

Pendant quelques instants, Luke sentit une vague d’excitation comme il n’en avait jamais ressentit. Quand il revint finalement à la réalité de sa situation, ce fut pour retrouver le regard de sa mère, le fixant d’un air consterné. Il senti un écoulement mouillé de gelée collante le long de sa jambe et réalisa que non seulement tout le monde le regardait, mais qu’en plus le docteur Livesey lui parlait.

« Est-ce que tu comprends, Luke ? »

« Je… je suis désolé, heu, docteur… qu’est-ce … heu… je n’ai pas... » bredouilla-t-il, confus d’excuse et pressant ses mains plus forts sur le faut de sa tête dans l’espoir de regagner un certain contrôle sur lui même.

« Luke, je décrivais justement à Michelle le rôle du liquide pré-séminal et comment s’assurer d’une bonne sortie du sperme... »

« Je suis désolé, docteur Livesey… je n’ai pas entendu... »

« Ce n’est pas grave. Si nous avons le temps je te le récapitulerais plus tard. Pour le moment tu vas te concentrer sur ta démonstration... »

Luke était perplexe. Il n’avait aucune idée de ce dont parlait la doctoresse. Tout le monde le savait clairement et chacune regardait Luke… le fixant et patientant.

« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter, Luke… ta mère m’a donné sa permission », dit la jeune femme.

Luke était encore plus confus : « Je … je ne comprends pas, docteur Livesey... »

La doctoresse parvint à masquer son exaspération. Elle savait d’expérience que lorsque les garçons atteignent un certain niveau d’excitation, leurs sens peuvent faiblir, en particulier l’ouïe.

« Luke » dit-elle, « je t’ai demandé tout à l’heure si tu étais capable de te masturber… tu te souviens de ça ? »

« Oui, docteur ».

« Bien… et comprends-tu pourquoi je t’ai posé cette question ? »

« Hmm, oui, je pense que oui, docteur Livesey » répondit Luke alors qu’il sentait une vague fraîche d’embarras lui parcourir le corps, « c’est parce que… parce que mon pénis est… est… trop petit ? »

« Oui c’est exactement ça Luke », dit la doctoresse comme si elle le félicitait d’avoir répondu à une question sur un calcul différentiel, « je t’ai demandé si tu étais capable de te masturber car un a une verge particulièrement petite… et maintenant, Luke, que nous avons la permission de ta mère, j’aimerai que tu montres à tout le monde comment tu te masturbes... »

Luke était abasourdi par la tournure des événements et resta, bouche bée, estomaqué par la demande de la doctoresse.

« Quoi.. ici… maintenant ? » demanda le jeune homme alors que s’évaporaient lentement les derniers vestiges de son amour propre.

« Évidement Luke… où voudrais-tu le faire si ce n’est ici ? » répondit la jeune femme, « Luke, tu as un beau pénis en complète érection… tu as déjà produit une quantité appréciable de liquide pré-séminal… je peux voir tous les signes physiques d’une grande excitation chez toi… ce n’est pas vrai, Luke ? »

Luke ne rien faire d’autre que d’avouer la vérité : « Oui… oui docteur Livesey... »

« Eh bien alors, Luke… pourquoi ne me montres-tu pas comment tu t’y prends ? Tu ressens le besoin d’éjaculer, n’est-ce pas Luke ? C’est un besoin urgent que je te permet d’assouvir. »

La doctoresse avait bien entendu raison. Luke voulait désespérement sentir le plaisir… d’avoir un orgasme. Il voulait sentir son sperme jaillir hors de son pénis. Il n’avait pas pu se masturber depuis une semaine et ses boules étaient au bord de l’implosion. La sensation la main de Michelle tenant ses parties intimes et manipulant son prépuce l’avait presque emmené à l’extase, mais l’avait finalement laissé en attente d’être soulagé. Mais ici ?! Maintenant ?! Devant Michelle ? L’infirmière Pilbeam ? Le docteur Livesey ? Devant sa mère ?!

Le docteur Livesey parla gentillement mais avec fermeté. Elle invita Luke a baisser ses mains. Il utilisa des mots encourageants alors que Luke saisit sa queue toute raide entre le pouce et l’ index de sa main droite. Puis, en agitant sa main de petits coups secs, Luke montra à la doctoresse comment il se masturbait.

Michelle dû étouffer ses ricanements alors qu’elle regardait la performance de Luke. Même l’infirmière Pilbeam n’avait jamais vu une aussi petite queue être branlée. Elle sourit, trouvant mignon la façon dont Luke s’y prenait, fermant les yeux et agitant par accoups de plus en plus rapide sa verge tendue. La respiration du jeune homme s’intensifia et il était maintenant clair qu’il était sur le point d’éjaculer.

« Ca va aller pour l’instant, merci, Luke. » Chaque mot de la doctoresse était prononcer avec calme et autorité. Luke souffla quand il les entendit, ouvrant des yeux incrédules, voyant le regard sérieux affiché par la jeune femme. Il arrêta immédiatement ses petits mouvements de poignet.

« Les mains sur la tête s’il te plait, Luke. »

Luke obéit immédiatement et pendant un moment, le docteur Livesey se félicita de l’avoir arrêté à temps. Elle n’avait pas eu l’intention de laisser Luke aller jusqu’à l’orgasme si tôt, mais c’était parfaitement clair pour tout le monde qui regardait, que Luke ne parvenait pas à reprendre le contrôle sur lui-même. Il se mordit la lèvre inférieure et tenta désespérément de ne pas céder, mais cela faisait si longtemps depuis son dernier orgasme…

« Oh mon Dieu !! » s’écria Michelle alors qu’elle voyait la queue de Luke s’agiter de spasmes et cracher du sperme. Sa petite érection s’agitait et pulsait à chaque émission de liquide, mais l’orgasme de Luke était complètement ruiné. Alors que les dernières coulées de liquide visqueux s’échappaient de son pénis, des larmes de frustration coulèrent sur le visage du jeune homme, glissant jusqu’à son menton.

« Luke… je suis désolé, » dit alors la doctoresse, « j’avais l’espoir que l’on puisse prolonger ta masturbation pour que Michelle puisse avoir l’opportunité d’observer d’autres techniques qu’utilisent les garçons habitués à d’auto-stimuler… mais malheureusement tu as éjaculé bien trop rapidement… Luke ce n’est pas la peine de t’en faire à propos de ça... » Luke hoquetait, « Certains garçons éjaculent trop tôt… je suis certaine que tu étais plus excité que d’habitude… éjacules-tu si vite quand tu te masturbes à la maison ? »

Luke était si bouleversé qu’il ne pu parler, mais il secoua la tête d’un côté à l’autre pour indiquer sa réponse à la doctoresse.

« Je vois… alors combien de temps tu te masturbes avant d’arriver à éjaculer, en général ? »

C’était pathétique de voir Luke, un jeune homme de 19 ans en larmes, mais le docteur Livesey était habituée à voir ces changements émotionnels chez les garçons durant les visites médicales. Luke ne répondant pas à sa question, elle en déduisit qui était trop honteux d’avoir à discuter des habitudes masturbatoires devant sa mère.

« Luke, je veux que tu sois honnête avec moi… c’est la seule façon pour moi de t’aider. Tu ne devrais pas être si gêne d’en parler… nous savons toutes que tu te masturbes et nous t’avons mème vu éjaculer. Tu sais que ta mère désapprouve la masturbation… et je suis moi-même convaincue que la masturbation est mauvaise pour la santé d’un garçon de ton âge. Mais le fait est que tu te masturbes malgré tout… n’est-ce pas Luke ? »

« Oui, docteur Livesey... » répondit Luke. Il avait arrêté de pleurer, mais se sentait plus honteux que jamais. Il s’en voulait tellement d’avoir parler du sujet à sa mère quand elle était venue dans sa chambre. Pourquoi, se demanda-t-il, n’avait-il pas ignoré les moqueries ? Pourquoi avait-il dû en parler ? Il aurait dû deviner que sa mère l’aurait enmené voir le docteur Joanna Livesey. Mais même Luke ne savait pas ce qu’il se serait passé dans la salle de consultation de la doctoresse.

« Alors dis moi Luke… combien de temps dure une séance de masturbation avant que tu n’éjacules ? S’enquit le docteur Livesey, réitérant sa question.

« Hum… à peut près … heu, trois ou quatre minutes, je crois… » répondit Luke, ne sachant pas si cela correspondait à une quelconque moyenne. La vérité était que lorsqu’il Luke avait une rare occasion de se branler, il était trop effrayé d’être surpris. Alors il voulait juste atteindre le plus vite l’orgasme et se sentir soulagé rapidement au cas où sa mère rentrerait dans sa chambre.

« Je vois... » répondit la doctoresse sur le ton de la réflexion.

Ce fut Michelle qui prit alors la parole pour demander une explication plus poussée.
La jeune interne, basculant son regard de Luke à la doctoresse :

« Pardonnez vous, docteur Livesey, mais trois minutes… avant qu’il ne le fasse… est-ce… normal ? Je suis désolé de demander ça, mais n’est-ce pas un peu … rapide ? »

« Tu n’as pas besoin de t’excuser pour poser des questions tout à fait légitimes, Michelle. Comme tu as pu le constater par toi-même, Luke n’a pas un grand contrôle sur son propre corps. Il n’y a eu d’une petite stimulation de son pénis avant que ne survienne l’éjaculation, ça me paraît donc parfaitement raisonnable d’accepter la réponse de Luke… Mais pour comparer à d’autres garçons du même âge que Luke, 19 ans tout de même, la plupart n’éjacule pas si vite. Ils font durer le plaisir jusqu’à relâcher une puissante éjaculation, bien plus importante en quantité et en pression que ce Luke a pu nous montrer… »

Alors que Luke écoutait la doctoresse décrire sa pauvre performance, chaque mot contribuait à fragiliser le peu de confiance qu’il lui restait.

« … j’aimerai comparer les résultats de Luke à ceux d’un garçon plus jeune qui vient de découvrir la masturbation... » poursuivit la jeune femme.

L’infirmière Pilbeam se leva : « Je suis désolé de vous interrompre, docteur, mais le temps passe et il y a d’autres patients... »

« Mon Dieu oui… vous auriez dû me prévenir plus tôt. Vous avez raison, je n’ai pas vu le temps filer, le cas de Luke m’a particulièrement absorbée... » dit-elle se tournait vers le jeune homme, toujours debout avec les mains sur la tête. Ses larmes avaient séchées sur son visage, tout comme les bulles de sperme qui s’étaient étalées sur ses cuisses. « Va avec l’infirmière Pilbeam et Michelle, Luke, elles vont te nettoyer. Ta mère te retrouvera bientôt avec tes vêtements... »



 

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