Indiens et cow-boys
par Skinny le, 16/08/2007L'année de mes vingt ans, j'ai passé une partie de l'été comme moniteur de colonie de vacances dans le Midi. Un beau jour, on a décidé d'organiser un grand jeu sur le thème des Indiens et des cow-boys.
Avec une dizaine de gosses, je fus choisi pour être le chef des cow-boys. On avait de superbes chapeaux, des ceinturons et des pistolets achetés au marché de la ville.
Les autres moniteurs avaient choisi le camp des Indiens. Pendant toute la journée, le jeu se déroula sur un ton bon enfant: les "morts" se relevaient après cinq minutes d'immobilité obligatoire, les prisonniers des deux camps étaient bien traités et rapidement échangés contre d'autres prisonniers, etc...
Les choses se gâtèrent vers la fin de l'après-midi, lorsque je me trouvai encerclé par une dizaine de petits Indiens encadrés par deux moniteurs qui se faisaient appeler Bison Cruel et Loup Féroce.
Bison Cruel me lança un regard noir et cria à sa petite troupe: "Mais c'est Ralph, le chef des cow-boys, tenez-le bien et ne le laissez pas s'échapper"... Aussitôt, une dizaine de petites mains m'agrippèrent, m'enlevant mon chapeau, mon ceinturon et mon pistolet.
Bison Cruel lança alors un clin d'oeil à Loup Féroce et demanda: "Alors, les enfants, qu'est-ce qu'on va faire de ce méchant homme blanc?"
Après quelques secondes d'hésitation, l'un des petits Indiens s'écria: "On va le foutre à poil"... et un autre ajouta: "Oui, et ensuite on l'attachera au poteau de torture"...
Vous imaginez la suite: en quelques secondes, les petits Indiens m'arrachèrent tous mes vêtements, avec l'aide complaisante de Bison Cruel et de Loup Féroce. Puis, lorsque je fus entièrement nu, ils me baillonnèrent et me ficelèrent debout à un arbre, au plus profond du bois. Puis, avant de me laisser à mon triste sort, Bison Cruel vint discrètement me titiller le sexe en me murmurant à l'oreille: "Je crois que ça t'excite, non? Tu n'as plus qu'à prendre ton mal en patience car on ne viendra te détacher que demain matin et, attaché comme tu l'es, tu ne pourras même pas te branler pour passer le temps"...