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middle school story part 3
par Anonymous le, 22/05/2008

Sous les cris déchaînés des internes, Matthieu m’agrippe fermement le slip et ordonne à Louis et Vincent de me tenir fermement les bras. Je sens à présent les mains de Matthieu faire glisser lentement mon slip à l’arrière sur les fesses qu’il finit par découvrir entièrement sous les cris de tous les internes « ohlé, ohlé…. » Mes deux copains Louis et Vincent sont trop gênés de me voir ainsi à côté d’eux et ne savent pas trop comment réagir. A présent je sens l’air froid qui caresse mes fesses entièrement découvertes. Cette situation inconfortable qui m’humilie me fait bander de plus en plus. Mon slip est maintenant tout juste retenu à l’avant par mon pénis qui se dresse comme une fusée. Les autres comment à entonner le chant « allez la bite, allez la bite, à l’air ». Tous les jeunes de 13 ans sont morts de rire et s’imaginent déjà de me voir tout nu.

Je m’adresse à Maxime et lui demande « Pitié, pitié, laisse moi tranquille, je n’en peux plus, je ferais ce que tu veux mais ne me déshabillez pas devant tous les autres.

Il me répond, « ok je suis d’accord, répète ta demande à Mathieu et à mes trois autres copains que tu feras sans broncher tout ce qu’on te dira de faire et absolument tout sans résister »

Inquiet et méfiant d’un piège, je leur répète la demande me disant que ce qu’il me demanderont de faire ne pourra pas être pire que ce que je subis actuellement.

Mathieu et les trois autres élèves de première sont d’accord de ce marché et se contentent de sourire. Je me dis que mon cauchemar va prendre fin quand, subitement, Maxime s’adresse à tous en ces mots « la tomate nous a supplié de le laisser tranquille pour ce soir et a demandé à être bizuté en privé par les élèves première uniquement. La tomate ne veut pas que les 4èmes et les 3èmes profitent du spectacle, je trouve cela injuste, mais bon après tout c’est à vous de décider. Bien, on va faire un vote comme les romains, si vous voulez qu’on emmène la tomate au dortoir des premières pour continuer entre nous, vous levez le pouce vers le haut, si vous voulez qu’on continue la mise à l’air de la tomate, vous baissez le pouce vers le bas. »

Les autres crient tout de suite, « tomate, salaud, on va faire ta fête » et tous mettent leur pouce vers le bas. Mathieu fait remarquer aux autres que mes copains Louis et Vincent n’ont pas voté. Aussitôt, tous les regards se portent sur eux. Tel un chien battu, je les regarde dans les yeux, ils ont de la compassion pour moi mais ne savent comment s’en sortir. S’ils votent pour moi, ils risquent le pire, leur vote ne changeant pas grand chose, deux voix contre 80 environs. S’ils votent contre moi, ils ont l’impression de me trahir.

Après 15 secondes, ayant tous les regards fixés sur eux, ils lèvent la main, tel l’empereur romain, comme si leur vote était déterminant, et baissent leur pouce vers le bas ce qui provoque immédiatement des applaudissements de tous.

Mathieu n’en peut plus, immédiatement il agrippe ses deux mains sur mon slip, et ne voulant pas se contenter de tirer sur les bords, met carrément ses deux mains dans mon slip à l’avant pour saisir ma verge ce qui provoque immédiatement des rires de tout le groupe. Il crie « elle est grosse et chaude ».

Ne pouvant plus supporter cette situation, je commence à m’agiter et à me débattre. Au même moment, Mathieu, avec toute son énergie, m’arrache littéralement le slip vers le bas jusqu’aux genoux laissant mon pénis se dresser en pleine érection tout en criant « putain , la belle bite ».

Les rires hilarant et les moqueries de toutes genre fusent à travers la salle des lavabos. Les élèves de première qui se tenaient avec Maxime m’empoignent et me soulèvent ce qui permet à Mathieu de me débarrasser entièrement de mon slip qui était encore au niveau de mes genoux. Après me l’avoir arraché, il le lance aux internes qui se le passent de mains en mains en rigolant.

Je me trouve à présent entièrement à poil devant tous les internes de l’étage qui sont tous dans ma classe et dans les autres classes de quatrième et troisième.

Maxime ordonne tout de suite, « rendez vous dans la salle d’étude au rez de chaussée pour la bite au cirage et le rasage des couilles dans 15 minutes, mais avant on va passer par les dortoirs du troisième étage pour montrer la tomate aux sixièmes et cinquièmes. Il faut leur faire l’éducation sexuelle, on va leur montrer cette trop belle bite.

Foudroyant du regard, il me lance, « je te l’avais dit, ça va être ta fête ce soir ».

En même temps, toute la bande en furie s’élance dans le couloir. Comme un trophée de guerre, je suis porté par six internes de première. J’ai beau essayer de me débattre en me tortillant pour me libérer, rien n’y fait, ils sont bien plus forts et nombreux. Un élève de première continue à me filmer et tous les autres me mitraillent pour prendre des photos avec leurs téléphones portables. Certains élèves de quatrième profitent pour me pincer mes fesses dénudées et d’autres tentent même d’agripper mon pénis. Quand ils y parviennent, je les entends hurler « je l’ai touché, putain, le bel organe ». A fur à mesure que nous descendons les escaliers dans un vacarme d’émeute, les quatrième organisent un concours pour savoir celui qui aura eu le record du toucher de pénis. Ceci n’arrange en rien mon érection qui se fait de plus en plus présente alors que nous arrivons à l’étage des sixièmes.

Dans le couloir qui mène aux dortoirs des sixièmes, Maxime hurle, « debout les sixièmes, on a une surprise pour vous ». Je crie « arrêtez, pitié, pas ça, ». Un copain de Maxime ouvre une première chambre où se trouvent dix lits, allume la lumière et hurle dans la pièce ce qui provoque le réveil de tous les occupants médusés. Il pénètre dans le dortoir et leur dit « on vous amène une surprise, allez tous debout ». Il se tourne vers Maxime et la troupe qui me tient et leur lance, « amenez la tomate par ici ».

Je suis rouge de honte à l’idée de devoir me trouver dans quelques instants devant les petits sixièmes, entièrement à poil et, en pleine érection.

Les internes me transportent littéralement dans le dortoir en poussant des cris d’indiens. Ils me jettent sur le sol carrelé dans la travée centrale entre les lits et quittent immédiatement la pièce en refermant la porte derrière eux. Il se réfugient de l’autre côté de la porte côté couloir dont ils bloquent la clenche et contemplent la scène à travers la porte vitrée avec un malin plaisir.

Les élèves de sixième me regardent naïvement ne sachant comment réagir. Certains ont le sourire aux lèvres et regardent fixement ma verge en érection que j’essaie de cacher en vain avec mes mains. Peine perdue, l’érection est tellement forte, attisée par mon sentiment de gêne provoqué par la situation, que je n’arrive pas à replier mon pénis qui se dresse à l’horizontale sur quinze centimètres. C’est alors qu’un élève me dit « pourquoi t’es tout nu et pourquoi on t’a amené dans notre dortoir ? »

Je ne contiens plus ma gêne devant cette situation et me précipite aussitôt vers la porte que j’essaie d’ouvrir en vain tout en suppliant mes tortionnaires de me laisser sortir.

Maxime a qui rien n’a échappé, me lance « ok, on va bientôt te libérer, mais d’abord un petit gage, le tribunal des bizuts te condamne à la sanction suivante : tu te mets au milieu du dortoir, bien visible de la porte et tu te branles devant tout le monde. Tu pourras t’arrêter quand tu auras arrosé le sol avec ton sperme, ma petite tomate, c’est bien compris ? ».

 

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